Jean Pierre Pouzol

pour Lucienne

La peine était obscure
Lentement le ciel mangeait le toit
La nuit ouvrait ses draps
Et quelque chose désossait les rêves
Une fleur se balançait sur le rebord de la fenêtre
Une ombre l'effaçait dans le miroir silencieux
Le jour était déjà loin
On marchait sans limites

Caminel, 30 juin 2001.

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